Partout, un peu de nous (paroles et musique : Luc Alenvers) 1. J'ai laissé mon p'tit coeur à Rio sans rancoeur Au bras d'une sombre beauté J'ai laissé mes vieux os au tréfonds d'un tripot A Bali, c'est ballot d'tricher 2. J'ai laissé mes deux pieds en sautant à cloche-pied Au Japon, sur un Typhon J'ai laissé mes deux mains dans un pub de Dublin Aux boutons d'un accordéon On laisse tous partout un peu de nous Des p'tits bouts de nous un peu partout On laisse tous partout un peu de nous Des p'tits bouts où l'on se sent chez nous Comme chez vous 3. J'ai laissé mon visage au doux vent, aux mirages Au soleil du Sénégal J'ai laissé mes deux yeux à contempler les cieux Majestueux, joyeux du Népal 4. J'ai laissé ma santé au fond d'un rhum ambré A Cuba, sur une salsa J'ai laissé ma valise, mon argent, ma chemise Aux enfants des rues d'Calcutta On laisse tous partout un peu de nous Des p'tits bouts de nous un peu partout On laisse tous partout un peu de nous Des p'tits bouts où l'on se sent chez vous Comme chez nous On laisse tous partout un peu de nous Des p'tits bouts de nous un peu partout On laisse tous partout un peu de nous Des p'tits bouts où l'on se sent chez nous Comme chez vous Yadoudi douda doudi doudé Yadoudi douda doudi doudé

Partout, un peu de nous (paroles et musique : Luc Alenvers) 1. J'ai laissé mon p'tit coeur à Rio sans rancoeur Au bras d'une sombre beauté J'ai laissé mes vieux os au tréfonds d'un tripot A Bali, c'est ballot d'tricher 2. J'ai laissé mes deux pieds en sautant à cloche-pied Au Japon, sur un Typhon J'ai laissé mes deux mains dans un pub de Dublin Aux boutons d'un accordéon On laisse tous partout un peu de nous Des p'tits bouts de nous un peu partout On laisse tous partout un peu de nous Des p'tits bouts où l'on se sent chez nous Comme chez vous 3. J'ai laissé mon visage au doux vent, aux mirages Au soleil du Sénégal J'ai laissé mes deux yeux à contempler les cieux Majestueux, joyeux du Népal 4. J'ai laissé ma santé au fond d'un rhum ambré A Cuba, sur une salsa J'ai laissé ma valise, mon argent, ma chemise Aux enfants des rues d'Calcutta On laisse tous partout un peu de nous Des p'tits bouts de nous un peu partout On laisse tous partout un peu de nous Des p'tits bouts où l'on se sent chez vous Comme chez nous On laisse tous partout un peu de nous Des p'tits bouts de nous un peu partout On laisse tous partout un peu de nous Des p'tits bouts où l'on se sent chez nous Comme chez vous Yadoudi douda doudi doudé Yadoudi douda doudi doudé

Elle s'en arrache les ch'veux (paroles et musique : Luc Alenvers) 1. Moi, c'est ma nana qui m'en veut Elle s'en arrache même les ch'veux Elle dit que j'suis plus un bon gars Qu'elle se fait un d'ces tracas Que j'devrais manger du poisson Et surtout pas de saucisson Que j'devrais passer un check-up Stopper les pâtes au ketchup J'y ai dit "je s'rai tranquille, pas la peine de t'faire de bile Tu vas voir c'que tu vas voir, je traîn'rai plus dans les bars 2. Moi, c'est ma nana qui m'en veut Elle s'en arrache même les ch'veux Elle dit qu'j'suis un mauvais garçon Qu'elle se fait un d'ces mourons Que j'devrais manger des trucs bio Dev'nir un vrai écolo Que j'bois beaucoup trop de pinard Que j'assure plus rien au plumard J'y ai dit "je s'rai tranquille, pas la peine de t'faire de bile Tu vas voir c'que tu vas voir, je traîn'rai plus dans les bars Direction, la salle de sport, avoir une belle ligne de corps Régime fruits secs quinoa, crème à l'aloe vera 3. Moi, c'est ma nana qui m'en veut Elle s'en arrache même les ch'veux Elle veut m'traîner faire du shopping Parce qu'elle veut m'ach'ter un string Mais à finir en léopard Moi, j'préfère aller au bar J'en ai marre du quinoa, des p'tits pois et du soja Direction : premier bistrot, pour s'taper un apéro Régime : pastis cacahuète, pinard, sandwich aux rillettes Elle pourra toujours gueuler quand j'vais rentrer fin bourré, Je la gav'rais de foie gras, d'saucisson et nutella Et on s'tap'ra du pinard, avant d'finir au plumard

Elle s'en arrache les ch'veux (paroles et musique : Luc Alenvers) 1. Moi, c'est ma nana qui m'en veut Elle s'en arrache même les ch'veux Elle dit que j'suis plus un bon gars Qu'elle se fait un d'ces tracas Que j'devrais manger du poisson Et surtout pas de saucisson Que j'devrais passer un check-up Stopper les pâtes au ketchup J'y ai dit "je s'rai tranquille, pas la peine de t'faire de bile Tu vas voir c'que tu vas voir, je traîn'rai plus dans les bars 2. Moi, c'est ma nana qui m'en veut Elle s'en arrache même les ch'veux Elle dit qu'j'suis un mauvais garçon Qu'elle se fait un d'ces mourons Que j'devrais manger des trucs bio Dev'nir un vrai écolo Que j'bois beaucoup trop de pinard Que j'assure plus rien au plumard J'y ai dit "je s'rai tranquille, pas la peine de t'faire de bile Tu vas voir c'que tu vas voir, je traîn'rai plus dans les bars Direction, la salle de sport, avoir une belle ligne de corps Régime fruits secs quinoa, crème à l'aloe vera 3. Moi, c'est ma nana qui m'en veut Elle s'en arrache même les ch'veux Elle veut m'traîner faire du shopping Parce qu'elle veut m'ach'ter un string Mais à finir en léopard Moi, j'préfère aller au bar J'en ai marre du quinoa, des p'tits pois et du soja Direction : premier bistrot, pour s'taper un apéro Régime : pastis cacahuète, pinard, sandwich aux rillettes Elle pourra toujours gueuler quand j'vais rentrer fin bourré, Je la gav'rais de foie gras, d'saucisson et nutella Et on s'tap'ra du pinard, avant d'finir au plumard

L'amour flou (paroles et musique : Luc Alenvers) Oh ma Lilou, ma jolie rousse Mon bijou, ma folie douce Quand tu me fous tes baisers fous Ca m'secousse, frissons partout J'adore ton corps souple qui chaloupe La féline courbe de ta croupe Ta langue filousse, dans nos bouche à bouche Et ta frimousse, friponne et farouche Mais je préfère quand t’es pas là Comme ça je peux penser à toi Au fond de moi, ces poussières de toi De la poudre d'amour, et le flou autour Oh mon p'tit chou, ma belle manouche Mon joujou, ma Sainte Jytouche Une fée clochette aux fesses coquettes Princesse vaudou, sexe sans tabou J'adore le goût de tes pamplemousses Au vent-debout, lorsque je te trousse Et ton barouf, quand on s'maraboute Tes cris papous quand j't'empapaoute (Refrain) C'est chouette maousse quand tu dors là Comme un doudou tout contre moi On se babouche en va-et-vient Quand on s'envoie en l'air de rien Y'a rien à faire, moi je préfère penser à toi quand t'es pas là Au fond de moi, ces poussièr’s de toi C'est un flou d'amour, c'est l'amour flou

L'amour flou (paroles et musique : Luc Alenvers) Oh ma Lilou, ma jolie rousse Mon bijou, ma folie douce Quand tu me fous tes baisers fous Ca m'secousse, frissons partout J'adore ton corps souple qui chaloupe La féline courbe de ta croupe Ta langue filousse, dans nos bouche à bouche Et ta frimousse, friponne et farouche Mais je préfère quand t’es pas là Comme ça je peux penser à toi Au fond de moi, ces poussières de toi De la poudre d'amour, et le flou autour Oh mon p'tit chou, ma belle manouche Mon joujou, ma Sainte Jytouche Une fée clochette aux fesses coquettes Princesse vaudou, sexe sans tabou J'adore le goût de tes pamplemousses Au vent-debout, lorsque je te trousse Et ton barouf, quand on s'maraboute Tes cris papous quand j't'empapaoute (Refrain) C'est chouette maousse quand tu dors là Comme un doudou tout contre moi On se babouche en va-et-vient Quand on s'envoie en l'air de rien Y'a rien à faire, moi je préfère penser à toi quand t'es pas là Au fond de moi, ces poussièr’s de toi C'est un flou d'amour, c'est l'amour flou

L'hippopodrame (paroles : Luc Alenvers / musique : Jean-Baptiste Frugier) Juvénile et gracile Comme une sirène au corps agile Au milieu du fleuve, elle flâne Madame l'Hippopotame se pavane Volubile, elle jubile Plonge et replonge, jolie torpille Pleine de vie, tout son coeur s'enflamme Crâne, Madame l'Hippopotame Sous le soleil d'avril, en compagnie des crocodiles Elle folâtre et se pâme, avec son fils le p'tit Hippopotame Sur la rive les mandrills, en de joyeux cris les acclament Les flamants roses en file, s'envolent comme autant de flèches en flamme... Mais un beau jour... Sous les yeux de son fils en larmes Des hommes cruels, perfides et vils, capturent Madame l'Hippopotame Ils l'expédient loin, loin, très loin, en exil... Volubiles, ils jubilent Passent et repassent devant les grilles Du zoo, les hommes se pavanent En de joyeux cris, ils la réclament Immobile et docile Comme une déesse au coeur fragile Prisonnière d'une fausse savane Pleure Madame l'Hippopotame Sous la pluie laide d'avril, elle rêve aux rires des mandrills Madame l'Hippopotame se traîne seule avec son vague à l'âme Se revoit sur son île, où résonne l'écho des tam-tams Pachyderme inutile, loin d'son fils le p'tit Hippopotame Qui lui, ainsi soit-il, s'est embarqué dans une caravane Où tous les soirs fébrile, il joue sur son violon des airs tziganes

L'hippopodrame (paroles : Luc Alenvers / musique : Jean-Baptiste Frugier) Juvénile et gracile Comme une sirène au corps agile Au milieu du fleuve, elle flâne Madame l'Hippopotame se pavane Volubile, elle jubile Plonge et replonge, jolie torpille Pleine de vie, tout son coeur s'enflamme Crâne, Madame l'Hippopotame Sous le soleil d'avril, en compagnie des crocodiles Elle folâtre et se pâme, avec son fils le p'tit Hippopotame Sur la rive les mandrills, en de joyeux cris les acclament Les flamants roses en file, s'envolent comme autant de flèches en flamme... Mais un beau jour... Sous les yeux de son fils en larmes Des hommes cruels, perfides et vils, capturent Madame l'Hippopotame Ils l'expédient loin, loin, très loin, en exil... Volubiles, ils jubilent Passent et repassent devant les grilles Du zoo, les hommes se pavanent En de joyeux cris, ils la réclament Immobile et docile Comme une déesse au coeur fragile Prisonnière d'une fausse savane Pleure Madame l'Hippopotame Sous la pluie laide d'avril, elle rêve aux rires des mandrills Madame l'Hippopotame se traîne seule avec son vague à l'âme Se revoit sur son île, où résonne l'écho des tam-tams Pachyderme inutile, loin d'son fils le p'tit Hippopotame Qui lui, ainsi soit-il, s'est embarqué dans une caravane Où tous les soirs fébrile, il joue sur son violon des airs tziganes

T'es belle mon pote (paroles et musique : Luc Alenvers) Quand t'es bourré, t'es belle mon pote Entre Sancho Pança et Don Quichotte Tu marches comme une pendule, tu avances ou tu recules Tu penches, tu tournes et tu vires, Tour de Pise folle et ivre Quand t'es bourré, t'es belle mon pote T'as une tête de champion, champion d'belote Quand tu passes au digeo, on dirait un Picasso T'as la gueule de travers et les billes à l'envers Belle comme une bouteille, qui prend de la bouteille Belle comme une tournée, d'apéro endiablée Belle comme un brise-larmes, qui fend mes vagues à l'âme Belle comme la tendresse, sous ton manteau d'ivresse Comme un réverbère, qui fait fuir mes galères Un coucher d'visage, qui balaie mes nuages Quand j'suis bourré, c'que t'es belle mon pote Je te suis à la trace, boisson-pilote Et quand viennent les embruns, t'as le coeur qu'est sur la main T'as le cul dans les étoiles et tes pets soufflent la voile Quand nous bourrés, nous belles mon pote On a l'air de vainqueurs, champions d'belote On s'invente des chansons, des histoires de tire-bouchon On s'met à causer bancal aux aurôres boréales Belle comme une bouteille, qui prend de la bouteille Belle comme une tournée, d'apéro endiablée Belle comme l'espérance, après une nuit d'errance Belle comme la tendresse, sous ton manteau d'ivresse Comme un réverbère, qui fait fuir mes galères Un coucher d'visage qui balaie mes nuages Belle comme une bouteille, qui prend de la bouteille Belle comme une tournée, d'apéro endiablée Belle comme un brise-larmes, qui fend mes vagues à l'âme Belle comme la tendresse, sous ton manteau d'ivresse Comme un réverbière, qui fait fuir mes galères Un coucher d'visage, qui balaie mes nuages Belle comme une bouteille, belle comme une bouteille Oui j't'ai dans la peau, oui toi mon vieux poteau...

T'es belle mon pote (paroles et musique : Luc Alenvers) Quand t'es bourré, t'es belle mon pote Entre Sancho Pança et Don Quichotte Tu marches comme une pendule, tu avances ou tu recules Tu penches, tu tournes et tu vires, Tour de Pise folle et ivre Quand t'es bourré, t'es belle mon pote T'as une tête de champion, champion d'belote Quand tu passes au digeo, on dirait un Picasso T'as la gueule de travers et les billes à l'envers Belle comme une bouteille, qui prend de la bouteille Belle comme une tournée, d'apéro endiablée Belle comme un brise-larmes, qui fend mes vagues à l'âme Belle comme la tendresse, sous ton manteau d'ivresse Comme un réverbère, qui fait fuir mes galères Un coucher d'visage, qui balaie mes nuages Quand j'suis bourré, c'que t'es belle mon pote Je te suis à la trace, boisson-pilote Et quand viennent les embruns, t'as le coeur qu'est sur la main T'as le cul dans les étoiles et tes pets soufflent la voile Quand nous bourrés, nous belles mon pote On a l'air de vainqueurs, champions d'belote On s'invente des chansons, des histoires de tire-bouchon On s'met à causer bancal aux aurôres boréales Belle comme une bouteille, qui prend de la bouteille Belle comme une tournée, d'apéro endiablée Belle comme l'espérance, après une nuit d'errance Belle comme la tendresse, sous ton manteau d'ivresse Comme un réverbère, qui fait fuir mes galères Un coucher d'visage qui balaie mes nuages Belle comme une bouteille, qui prend de la bouteille Belle comme une tournée, d'apéro endiablée Belle comme un brise-larmes, qui fend mes vagues à l'âme Belle comme la tendresse, sous ton manteau d'ivresse Comme un réverbière, qui fait fuir mes galères Un coucher d'visage, qui balaie mes nuages Belle comme une bouteille, belle comme une bouteille Oui j't'ai dans la peau, oui toi mon vieux poteau...

Arômes de coriandre (paroles : Luc Alenvers / musique : Florent Richard-Luc Alenvers) Adieu bitume et asphalte Les matins couleur cobalt Et ces lieux où règnent la grisaille Et la ferraille Moi, je veux voir là où les arbres Rejoignent le sable et la mer Et plonger nu sous les vagues L’écume caressant ma chair Dans une sieste à ciel ouvert Au rythme d’un Stabat Mater Coller ma peau tout contre ta peau Et rester là, près de toi, sans dire un mot Se fendre d'un baiser tendre Sur tes lèvres au goût coriandre On se démène, on sort les poings La même rengaine : Gagner son pain et son vin Perdu dans la jungle urbaine Sous un coin de ciel bleu Une maison gorgée de rires Ces effluves capiteux Que nous apporte le zéphyr Que glisse ton beau temps sur ma pluie Et sur mon cœur engourdi Comme la douce caresse du vent Le temps passe près de nous, et pourtant… Se fendre d'un baiser tendre Sur tes lèvres au goût d'amande

Arômes de coriandre (paroles : Luc Alenvers / musique : Florent Richard-Luc Alenvers) Adieu bitume et asphalte Les matins couleur cobalt Et ces lieux où règnent la grisaille Et la ferraille Moi, je veux voir là où les arbres Rejoignent le sable et la mer Et plonger nu sous les vagues L’écume caressant ma chair Dans une sieste à ciel ouvert Au rythme d’un Stabat Mater Coller ma peau tout contre ta peau Et rester là, près de toi, sans dire un mot Se fendre d'un baiser tendre Sur tes lèvres au goût coriandre On se démène, on sort les poings La même rengaine : Gagner son pain et son vin Perdu dans la jungle urbaine Sous un coin de ciel bleu Une maison gorgée de rires Ces effluves capiteux Que nous apporte le zéphyr Que glisse ton beau temps sur ma pluie Et sur mon cœur engourdi Comme la douce caresse du vent Le temps passe près de nous, et pourtant… Se fendre d'un baiser tendre Sur tes lèvres au goût d'amande